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Quand on organise ses vacances, il est certain que l’on pense plus aux monuments que l’on va visiter, à une nouvelle gastronomie qui va faire frétiller nos papilles et à des plages de sable blanc qu’à des bobos et autres désagréments liés à la santé. Et pourtant. Petits et grands, nous pouvons tous avoir de petits incidents, en fonction de l’endroit où nous rendons. Pour répondre à cela, il est fortement conseillé de mettre dans ses bagages une trousse de secours. De quoi doit-elle être composée ? La réponse n’est pas si simple. C’est pour vous aider que nous avons élaboré ce guide complet.
Les incontournables à placer dans sa trousse à pharmacie pour les vacances
Selon l’Assurance Maladie, même si on adore l’improvisation ; ce qui peut nous amener à réserver des billets d’avion à la dernière minute pour apporter un peu de piquant dans notre quotidien, mais aussi profiter de réductions sur le prix ; il est conseillé d’opter pour un minimum d’organisation. Il faut pour partir, notamment quand des documents officiels sont à préparer, s’y prendre quelques semaines à l’avance. Dans le même ordre d’idée, impossible de quitter la maison sans avoir regardé si notre trousse de secours spéciale vacances contenait bien tout qui est important pour répondre aux différents problèmes qui peuvent se poser.
Comme nous allons le voir plus loin, cet accessoire indispensable peut évoluer en fonction des destinations, mais aussi des personnes qui partent ou encore de leur âge. Cependant, il y a des incontournables qui ne doivent jamais manquer et qu’il faut remplacer au fur et à mesure de leur utilisation, sans oublier de faire un check-up régulier de leur validité et état. Mieux vaut les conserver, dans leur emballage, avec la notice pour pouvoir s’y référer quand on a un doute.
En termes de galéniques pour les médicaments, par exemple, il vaut mieux prendre des produits à avaler avec de l’eau (oraux) et solides (comme des gélules ou encore des comprimés). Sous d’autres formes, ils seraient susceptibles de fondre. Attention également en cas de traitement habituel car certains médicaments réagissent mal à la lumière (on dit qu’ils sont photosensibles). En les prenant, on s’expose à des réactions cutanées.
- Selon la destination, il n’est pas toujours possible d’avoir quand on le souhaite l’accès à de l’eau et du savon. C’est pourtant la combinaison idéale pour se laver les mains, au moment de passer à table, par exemple. Pour remplacer, ne pas oublier un désinfectant à base d’eau et d’alcool, plus connu sous le nom bien connu désormais de gel hydroalcoolique.
- En vacances, la chaleur, quelquefois nous incite à vouloir nous concocter de bons petits plats frais : pas de chance, le couteau dérape et c’est la coupure. Compresses hémostatiques pour arrêter les saignements, compresses ou pansements stériles ou encore sparadrap se révéleront utiles pour continuer le repas sans autre problème.
- Quand on interroge les français sur l’endroit qu’ils veulent visiter pendant leurs vacances, les destinations soleil ont la côte. Pourtant, il est bon de rappeler que si le soleil fait du bien au moral et permet de faire le plein de vitamine D, il faut également s’en méfier et se mettre de la crème solaire. Un indice 30 ou 50 est toujours souhaitable. Malgré tout, par oubli ou parce que l’on a oublié un endroit, il faut parfois faire avec un coup de soleil. Une crème apaisante sera très appréciée.
- A protéger autant que faire se peut de la chaleur et de l’humidité, veillez à ne pas oublier les pansements gras. Ces derniers sont utiles pour les plaies qui suintent et les brûlures qu’ils vont rapidement apaiser.
- Une coupure un peu plus profonde ? Si cela ne nécessite pas toujours une visite aux urgences, il est urgent de rapprocher les lèvres de la plaie avec des bandelettes adhésives.
- Ah, le plaisir de la randonnée : marcher devant des paysages sublimes. L’envers du décor suppose de ne pas voir le caillou ou la branche d’arbre au sol et de se faire une entorse. Pour contenir le pied ou la cheville, la bande de contention sera l’alliée idéale (avec un peu de repos et de la glace).
- Nos amis les animaux ne sont pas les seuls qui peuvent attraper des tiques et ces insectes sont dangereux pour la santé parce qu’ils peuvent transmettre la maladie de Lyme. Pour ne pas prendre de risque quand on marche en forêt ou dans les hautes herbes, on se passe en revue le soir et on a toujours avec soi un tire-tiques pour enlever les crochets de la bête plantés dans la peau. Hormis pour les sourcils, la pince à épiler sera l’accessoire parfait pour retirer délicatement une écharde.
- Un front un peu chaud le soir ? Insolation, rhume ? Pour en avoir le cœur net, rien de mieux qu’un thermomètre (ne pas oublier les piles de rechange au besoin).
- Les vacances sont propices à la détente, mais aussi aux rencontres : pour éviter les IST (Infections Sexuellement Transmissibles), on pense aux préservatifs tant masculins que féminins.
- Spray antiseptique ou lingette évitent de devoir prendre du coton qui va prendre plus de place.
- Le paracétamol est un antalgique qui réussit à beaucoup de personnes, au contraire, par exemple de l’aspirine à éviter en cas de problème d’estomac. Il peut être utile d’en prendre quand on constate que l’on fait une poussée de température. Attention, pas en cas de coup de chaleur !
- En plein milieu de la nature, l’ambiance peut être gâchée par une allergie (pollen, foin…). Pour ne pas éternuer pendant tout le séjour, il est possible de prendre des antihistaminiques. Certains peuvent être trouvés sans ordonnance. Si l’on est suivi pour une allergie identifiée, on n’oublie pas ses comprimés.
- L’adrénaline jetable est à réserver aux personnes qui ont déjà eu un choc anaphylactique (par exemple un œdème de Quincke suite à l’ingestion d’un aliment ou une piqure d’insecte).
- Le décalage horaire, les changements alimentaires peuvent avoir une incidence sur le transit intestinal et provoquer de la constipation. Prendre un laxatif permet de le réguler, même s’il doit être pris avec parcimonie.
- Une conjonctivite peut arriver à tout moment. Pour éviter les douleurs oculaires et la gêne, ne pas oublier de prendre du collyre ou encore du sérum physiologique. Celui-ci est vendu en uni doses pratiques.
Notre sélection de trois trousses de secours
Trousse de 1ers Secours Mercurochrome
Trousse de 1ers secours qui contient les produits indispensables pour les premiers soins et blessures du quotidien : pansements, bandages élastiques, bande adhésive, compresses, sérum physiologique, lingettes & paire de ciseaux.
- 10.20 € Voir Amazon
Sac de 1ers secours de 130 pièces
Trousse composée de 130 pièces haut de gamme pour les situations d’urgence et de survie. Elle est approuvée CE et ne pèse qu’un peu plus de 2 Kg. Etui en nylon résistant à l’eau. Dimensions contenues pour gagner de la place en bagage.
Trousse de Secours Extérieur Urban Medical
Trousse fabriquée en Allemagne et très peu encombrante. Elle mesure 12 x 17,5 centimètres pour 270 grammes environ. L’ensemble est livré avec une brochure explicative en 7 langues pour vous guider étape par étape. Couverture de survie incluse.
- 21.90 € Voir Amazon
Une trousse de secours contient-elle toujours les mêmes choses ?
Comme dit, le contenu de la trousse de secours est susceptible d’évoluer en fonction de différents critères ; comme la destination, l’âge et le nombre des voyageurs. Il faut tenir compte des particularités de chaque endroit et chaque personne (est-ce une zone tropicale, se situe-t-il à la montagne, fait-il chaud ou froid, est-ce qu’une personne est allergique, en bas-âge…).
Il ne faut pas oublier que pour se rendre à un endroit précis, il faut en général prendre un moyen de locomotion qui ne sera pas toujours le même. Chacun peut supposer des effets secondaires ou indésirables, comme nous allons le voir plus loin. Si l’on part avec des personnes que l’on ne connait pas bien, il est important de leur demander si elles prévoient de prendre leurs médicaments et leur trousse de secours à elles.
N’oubliez pas que les besoins des uns et des autres ne sont pas identiques en fonction de l’état de santé général ou encore de l’âge. Les nourrissons, enfants en bas-âge et les séniors sont plus susceptibles d’être malades et il faut donc prévoir la trousse de secours en conséquence.
Emporter des médicaments en vacances
Vous avez un traitement à prendre de manière habituelle et même plusieurs fois par jour ? Cela ne doit pas vous empêcher de partir en vacances, y compris dans un pays lointain. Par contre, vous avez tout intérêt à être encore plus méticuleux, lors du remplissage de votre trousse de secours. Faites le comptage des médicaments dont vous allez avoir besoin pendant toute la durée de votre séjour. Si vous constatez que vous n’allez pas en avoir assez, n’hésitez pas à prendre rapidement rendez-vous avec votre médecin. La téléconsultation permet de ne pas devoir attendre trop longtemps et de se voir prescrire une ordonnance pour aller à la pharmacie prendre les médicaments manquants.
Selon votre destination (possibilité de canicule ou grand froid notamment) pensez à demander si vos médicaments ont besoin de conditions de conservation particulières ou s’il y a des choses à savoir les concernant (augmentation de certains effets indésirables en cas de forte chaleur etc…).
Ne les prenez pas en vrac pour ne pas les confondre avec d’autres, surtout si vous en prenez beaucoup. L’achat d’un pilulier peut se révéler utile. Certains sont très pratiques et adaptés aux prises multiples pendant la journée. Chaque membre de la famille qui prend un traitement peut avoir sa trousse à médicaments personnelle afin de ne pas risquer les erreurs.
Une trousse de secours de voyage à adapter
Avion, voiture, bateau : nous ne sommes pas tous égaux face à ces moyens de transport. Certaines personnes peuvent voyager des heures sans problème et dormir du sommeil du juste pendant tout le trajet pendant qu’une autre conduit (dans le cas d’une voiture), tandis que pour d’autres, c’est un moment très difficile à passer, notamment à cause des nausées.
Le mal des transports donne la sensation d’avoir envie de vomir, ce qui est très déplaisant. Heureusement, il est possible de prendre des médicaments anti-nauséeux, avec ou sans ordonnance. Certains sont à prendre avant de partir, d’autres, quand se déclenchent les premiers symptômes. Dans ces cas-là prendre des comprimés à faire fondre sous la langue promet une action plus rapide et une sensation de mieux-être.
Il est bon de savoir que l’on peut se voir prescrire des patchs à mettre sur le bras pour les longs trajets, notamment les trajets en avion. Ces derniers ne sont pas vraiment préconisés pour les personnes ayant des problèmes de circulation du sang ou ayant déjà eu des phlébites ou des thromboses. Pour éviter un problème qui nécessiterait un séjour aux urgences ou une hospitalisation, mieux vaut anticiper en prenant des bas ou des chaussettes de contention.
Décalage horaire, peur de l’avion, vertige : pour ne pas passer des heures d’angoisse, pourquoi ne pas prendre un très léger somnifère qui va vous aider à faire le vide et à dormir pendant quelques temps ?
Si vous souffrez d’une maladie chronique nécessitant l’utilisation d’une seringue, n’oubliez pas que dans les avions, elle peut être considérée comme un objet coupant et donc potentiellement une arme dont il faut justifier la présence (elle fait partie des objets interdits dans les bagages à main, hors justificatif médical). Cela sera chose faite en pouvant produire un certificat médical et une ordonnance. De manière générale ; puisqu’il peut arriver que des bagages soient perdus ; tout document important doit être conservé dans un bagage à main en cabine et dans un sac à dos toujours avec soi, pendant tout le séjour.
Voyage à l’étranger et en zone tropicale : les indispensables
Un pays tropical. Ces termes vont déjà voyager et l’imagination s’emballe : à nous le soleil et les découvertes d’une faune et d’une flore peut-être inconnues. Pourtant, cela comprend un revers de médaille : un changement de climat a une incidence sur notre organisme et cela se ressent notamment au niveau de la digestion.
Surtout que dans certains pays, il faut même se brosser les dents avec de l’eau en bouteille sous peine d’attraper la turista ; nom exotique lui aussi pour exprimer un mal pourtant peu glamour : la diarrhée du voyageur. Cependant, avant de vous tourner immédiatement vers les médicaments, adaptez votre façon de manger pour stopper rapidement les effets de la diarrhée (manger du riz, des bananes…).
Cela ne vous rebute pas et vous avez déjà réservé votre séjour et vos billets d’avion ? A vous d’adapter votre trousse de secours pour répondre à des besoins bien spécifiques :
- Parce que vous n’allez pas toujours avoir des bouteilles d’eau minérale sous la main, pensez à acheter des produits de désinfection que vous mettrez dans l’eau que l’on vous servira
- Pour les personnes de plus de 12 ans et seulement si des épisodes de diarrhées sont très violents avec du sang ; des antidiarrhéiques s’imposent
- Les femmes enceintes et allaitantes ou encore les mineurs de moins de 15 ans ne pourront pas trouver d’aide dans les anti-sécrétoires intestinaux. Les autres apprécieront de diminuer la sécrétion excessive d’eau et d’électrolytes au niveau de leur intestin.
- Ces plats vous semblaient délicieux et pourtant, maintenant, vous avez l’impression d’avoir le ventre en feu ? Achetez avant votre départ des protecteurs intestinaux, ainsi que des antispasmodiques.
- L’Asie, l’Amérique Latine ou encore l’Afrique sont synonymes d’un dépaysement certain. Et si vous en profitiez sans les effets indésirables ? Un antibiotique intestinal fera partie de votre trousse de secours si vous vous rendez prochainement dans un de ces endroits du globe.
Turista, mais aussi paludisme sont autant de problèmes que l’on peut connaitre quand on visite des endroits tropicaux. Plusieurs semaines avant le départ, une visite médicale s’impose pour faire le point sur les vaccins à faire au besoin ou encore prendre un traitement préventif pour ne pas attraper le paludisme. Une carte de groupe sanguin et son carnet de vaccination international font partie des incontournables pour de telles destinations et à conserver dans un sac à main ou un sac à dos, toujours à portée de main pour être soigné en cas de besoin.
A savoir : le paludisme fait partie des maladies qui peuvent être transmises par les moustiques. S’ils gâchent nos nuits à la maison, on ne parle pas des mêmes choses quand on voyage en zone exotique.
Fièvre jaune, encéphalite japonaise, dengue ne sont que quelques autres exemples de maladies que l’on peut contracter suite à des piqures, d’autant que les moustiques tigres sont des insectes essentiellement diurnes ; c’est-à-dire vivant le jour. Leurs piqures peuvent donc intervenir à tout moment de la journée même si on a pu constater des pics en début et fin de journée. Pour les chasser, on prend un répulsif à mettre sur la peau, dès que l’on sort, sans oublier de rabattre la moustiquaire au-dessus du lit, pour des nuits plus paisibles.
Vacances à la montagne : que mettre dans sa trousse ?
La destination joue un rôle primordial dans l’élaboration de la trousse de secours. Le fait de se rendre à la montagne n’y fait pas exception, avec des besoins quelques peu différents à ajouter à la trousse de base.
- Métro boulot dodo : pendant les vacances au ski, vous allez vous dépenser, à vous les randonnées en raquettes, le snowboard ou les descentes tout schuss. Il est à craindre des courbatures et des crampes si vous n’avez pas l’habitude. Vous serez heureux de trouver des pommades à base de camphre ou encore d’arnica.
- Marcher suppose de prendre de bonnes chaussures qu’il est préférable d’utiliser avant de partir pour les roder. Mais cela ne vous évitera peut-être pas les ampoules ou encore une entorse. Pensez à appliquer un antiseptique avant de mettre un pansement. Le froid est excellent pour réduire la taille d’une cheville gonflée par une entorse. Mais si la douleur persiste n’hésitez pas à prendre un antidouleur de type paracétamol.
- La neige est si belle, mais la réverbération peut causer ce que l’on appelle l’ophtalmie des neiges ; avec une déclinaison à la mer, avec le reflet sur l’eau du soleil. Outre les lunettes de soleil, pensez à prendre un collyre.
- Un médecin peut vous faire une prescription si vous savez que vous souffrez du mal des montagnes. Dans le doute, si c’est votre première fois, renseignez-vous et demandez conseil à un professionnel de santé, avant votre départ.
- L’altitude peut occasionner des saignements de nez chez les personnes sensibles. On ne met pas la tête en arrière contrairement à ce que l’on entend parfois. Par contre, on prévoit des compresses hémostatiques pour stopper les saignements et ne pas tacher ses vêtements.
- Avant tout acte médical y compris examiner la plaie d’autrui, on se désinfecte les mains, avec du gel hydroalcoolique.
- Outre les saignements de nez, quand on se trouve sur les sommets, on peut avoir des bourdonnements d’oreilles qui peuvent se révéler déplaisants : pour cela un seul remède, mettre des bouchons d’oreille à trouver en grande surface parfois sinon en pharmacie.
- Personne ne s’imagine perdu en pleine neige, ayant fait une chute à ski ou dans une situation extrême. Pourtant avec la neige, tout le paysage change et on peut ne plus retrouver son chemin si facilement. En attendant les secours ou l’arrivée d’un proche, on s’entoure d’une couverture de survie qui va nous aider à lutter contre l’hypothermie.
Bébés et enfants : ce qu’il ne faut pas oublier dans sa trousse de voyage
Mer, montagne, campagne : à chaque fois que nous imaginons emmener nos enfants en vacances, nous ne pensons qu’aux bons moments passés ensemble, les découvertes, l’émerveillement, les souvenirs. Pourtant, eux, plus que les autres hormis les personnes âgées peut-être ; peuvent présenter des risques accrus de tomber malades, de souffrir de déshydratation ou encore de contacter une infection.
Pas question que cela leur arrive si l’on prend ce qu’il faut dans sa trousse de secours.
- Les voir courir au soleil nous met en joie quand on sait qu’ils sont enfermés en crèche, à l’école pendant de longs mois. Pourtant, la peau des jeunes enfants est beaucoup plus sensible aux ultraviolets. On ne fait donc pas l’impasse sur la protection solaire avec un indice 50. On n’hésite pas à recommencer l’opération plusieurs fois par jour, surtout si le produit choisi n’est pas waterproof. Et bien entendu, on couvre leur tête (bob, casquette, chapeau…).
- Vous partez pour une zone tropicale ? Les risques sanitaires sont plus importants qu’ailleurs aussi, il peut être utile de prendre rendez-vous avez un pédiatre ou le médecin de famille qui suit l’enfant depuis sa naissance pour savoir quelles sont les recommandations d’usage.
- La chaleur nous fait transpirer. Cela se voit moins chez les petits, mais ils peuvent souffrir très rapidement de déshydratation. On évite les boissons sucrées, on privilégie l’eau (pas glacée et ayant subi une désinfection si elle ne vient pas d’une bouteille), et on prend un brumisateur au besoin. Des SRO (Solutions de Réhydratation Orale) sont à trouve en pharmacie pour éviter ce type de déboires.
- Les enfants aussi peuvent attraper la turista mais les conséquences peuvent être nettement plus graves que chez un adulte en bonne santé. Là encore les diarrhées vont accélérer la déshydratation ; qu’il faudra contrer avec des SRO.
- Les moustiques se fichent bien de savoir que votre enfant est en bas-âge et que leurs piqures vont les gêner. Par contre, les répulsifs que l’on trouve habituellement ne sont pas adaptés aux nourrissons et d’autres ne peuvent pas être pris en-dessous de 12 ans ! Mieux vaut demander l’avis d’un professionnel de santé pour prendre le produit le plus adapté pour eux.
- Mouche-bébé, paracétamol adapté à leur âge et/ou poids, sérum physiologique trouveront naturellement leur place dans la trousse de secours si vous vous rendez à la montagne car si le froid peut être revigorant, il est aussi synonyme de rhume.
- L’altitude n’est pas forcément bonne pour les oreilles des jeunes enfants susceptibles de déclencher des otites. Alors on les cache avec des bonnets bien couvrants pour ne pas demander un rendez-vous en urgence chez un médecin.
Avec toutes ces précautions, impossible de penser que vous n’allez pas profiter pleinement de vos futures vacances, tout en étant certains de pouvoir parer à toute éventualité grâce à la trousse de secours idéale.